Assalam alleikoum waramatoula wabarakat qu'Allah soub anna wata Allah nous guide sans fin et sans cesse sur le droit chemin et que notre récompense soit le firdahous
 
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بِسْمِ اللهِ الرَّحْمنِ الرَّحِيمِ 1.1. Bismi Allahi alrrahmani alrraheemi 1.1. Au nom de Dieu, le Clément, le Miséricordieux. 1.1 . In the name of Allah , the Beneficent , the Merciful الْحَمْدُ للّهِ رَبِّ الْعَالَمِينَ 1.2. Alhamdu lillahi rabbi alAAalameena 1.2. Louange à Dieu, le Maître de l’Univers, 1.2 . Praise be to Allah , Lord of the Worlds , الرَّحْمـنِ الرَّحِيمِ 1.3. Alrrahmani alrraheemi 1.3. le Clément, le Miséricordieux, 1.3 . The Beneficent , the Merciful . مَالِكِ يَوْمِ الدِّينِ 1.4. Maliki yawmi alddeeni 1.4. le Souverain du Jour du Jugement dernier ! 1.4 . Owner of the Day of Judgment , إِيَّاكَ نَعْبُدُ وإِيَّاكَ نَسْتَعِينُ 1.5. Iyyaka naAAbudu wa-iyyaka nastaAAeenu 1.5. C’est Toi que nous adorons ! C’est Toi dont nous implorons le secours ! 1.5 . Thee ( alone ) we worship ; Thee alone we ask for help . اهدِنَــــا الصِّرَاطَ المُستَقِيمَ 1.6. Ihdina alssirata almustaqeema 1.6. Guide-nous dans la Voie droite 1.6 . Show us the straight path , صِرَاطَ الَّذِينَ أَنعَمتَ عَلَيهِمْ غَيرِ المَغضُوبِ عَلَيهِمْ وَلاَ الضَّالِّينَ 1.7. Sirata allatheena anAAamta AAalayhim ghayri almaghdoobi AAalayhim wala alddalleena 1.7. la voie de ceux que Tu as comblés de bienfaits, non celle de ceux qui ont mérité Ta colère ni celle des égarés ! 1.7 . The path of those whom Thou hast favored ; Not ( the path ) of those who earn Thine anger nor of those who astray .

Sujet du jour

 LA FEMME PENDANT LA PERIODE PRE-ISLAMIQUE



Au nom d’Allah le Tout Miséricordieux la Très Miséricordieux

 

Introduction

Louange à Allah,  C’est Allah que nous louons, c’est à Allah que nous demandons de nous protéger contre le mal que nous faisons à nous même et contreles mauvaises actions que nous pouvons commettre. Celui qu’Allah met sur la bonne voie, nul ne peut l’égarer et celui qu’Allah égare nul ne peut le remettre sur la bonne voie. Je témoigne que nul n’est en droit d’être adoré qu’Allah et je témoigne que Mohammed  est son serviteur et envoyé.

L’Islam a consacré à la femme une place honorable en lui assignant le rôle d’éducatrice des générations. Il a relié la prospérité de la société à sa prospérité, et sa corruption à la sienne et ce car son rôle dans la société est d’une importance majeure .C’est en effet à elle qu’incombe l’immense devoir d’éduquer les enfants qui seront les éléments constitutifs de la société de demain.

Le Coran a privilégié la femme en lui consacrant une Sourate entière , la sourate « Les femmes » . Et la mère a été élevé à un très haut rang comme en témoigne le verset suivant :

{ Et ton Seigneur a décrété « N’adorez que Lui, et (marquez) de la bonté envers les père et mère. }
[ Sourate 17 : verset 23]

Le prophète lui a assigné la noble responsabilité d’éduquer les enfants. Il a dit : « …et la femme est gouvernante dans la maison de son mari et elle est responsable de l’objet de sa garde. » [Al Boukhari et Moslim]

Que celui qui cherche davantage d’éclaircissement au sujet de la valeur de la femme en Islam, qu’il lise ce livret. J’implore Allah qu’il en fasse bénéficier les lecteurs et rende notre intention sincère dans l’accomplissement de cette oeuvre .

De Mohammad Ben Jamil Zino.

 

La valeur de la femme chez les arabes en période pré-islamique 

1 - La femme n’avait pas droit à l’héritage. Les arabes disaient : ‘ Ne nous hérite que celui qui porte l’épée et protège son clan.’

2 - La femme n’avait aucun droit sur son mari, le nombre de répudiations n’était pas limité, le nombre d’épouses pour un seul homme ne l’était pas non plus, et lorsque le mari mourrait, la veuve passait à l’aîné de ses enfants issus d’un autre mariage, en même temps que les biens qui composaient la succession du défunt.

Selon Ibn Abbas :  A l’époque pré-islamique, l’homme qui perdait son père ou son beau-frère, avait plus de droit sur sa femme (à l’exception de sa mère ou de sa sœur). Il pouvait jouir d’elle, tout comme la consigner chez lui jusqu’à ce qu’elle se rachète en lui cédant sa dot, ou qu’elle meurt et c’est encore lui qui récupérait ses biens.’

3 - A l’époque pré-islamique (al Jahiliyya), la retraite de continence (al ‘idda ) durait une année entière. Le deuil (al ihdad) que portait la veuve pour son mari était éprouvant et humiliant. Elle portait ses plus mauvais vêtements, se confinait dans la plus mauvaise chambre, renonçait aux parures, aux bijoux et à tout ce qui pouvait l’embellir (az-zina). Elle évitait de se parfumer ou de se laver. Son corps ne touchait pas l’eau, elle ne taillait pas ses ongles et ne coupait pas un poil de son corps. Elle se cachait du regard des gens lorsqu’ils étaient en groupe, et au bout d’une année (de deuil). Elle sortait avec un visage très marqué et une odeur nauséabonde.

4 - Les arabes de l’époque pré-islamique contraignaient leurs esclaves à la prostitution, et s’accaparaient leur salaire, jusqu’à ce qu’Allah   fit descendre :

{ [...] Et dans votre recherche des profits passagers de la vie présente,
ne contraignez pas vos femmes esclaves à la prostitution. }
[24 : 33]

5 - Avant l’arrivée de l’Islam, il y avait différentes formes de mariage non-valides (zawaj fassid) chez les arabes :

a) Une forme dans laquelle, un groupe de moins de dix personnes entrait chez une femme et celle-ci avait un rapport sexuel avec chaque homme. En cas de conception d’un enfant, la femme désignait l’homme à qui elle attribuait la paternité.

b) Une forme connu sous le nom de « mariage pour améliorer la lignée ». L’homme cédait sa femme à un homme courageux et de haut rang dans le but d’engendrer un enfant possédant les mêmes caractéristiques que lui.

c) Une forme connu sous le nom de « mariage temporaire (nikah al mout’a) » .Le mariage temporaire consiste à épouser une femme pour un délai déterminé.

d) Une forme connu sous le nom de « mariage par compensation (ach-chighar) ». Il consiste à ce que l’homme donne en mariage une femme : soit sa fille, sa sœur ou toute autre femme qui est sous sa tutelle à un tiers à condition que ce dernier lui donne en mariage une femme sans la dot, car l’échange prend la place de la dot.

Les deux derniers mariages se fondent sur la règle selon laquelle la femme est propriété de l’homme tout comme son argent et son bétail. Ces pratiques existent encore de nos jours chez certains peuples primitifs comme les bohémiens.

Quant aux arabes de noble lignée comme les Quraysh, le mariage qu’ils pratiquaient est le même que celui des musulmans, comportant les fiançailles, la dot et le contrat. L’Islam a confirmé ce mariage tout en mettant fin à certaines traditions qui privent les femmes de leurs droits, comme le fait de les contraindre à se marier avec qui on veut, les empêcher de renouer avec leurs époux (après une séparation), reprendre injustement leur dot, etc…

L’Emir des croyants ‘Omar Ibn Al Khattab disait : "Pendant la Jahiliyya, nous ne donnions aucune valeur à la femme, lorsque l’Islam est venu et qu’Allah a parlé d’elles, nous avons compris qu’elles ont des droits sur nous." [ Al Boukhari ]

 

L’enterrement des filles vivantes

Les arabes de l’époque pré-islamique haïssaient les filles, ils les enterraient vivantes par crainte du déshonneur. L’Islam a désapprouvé cette pratique. Le Très Haut  (Exalté) a décrit son atrocité et a dit des arabes de cette époque (al Jahiliyya) :

{ Et lorsqu’on annonce à l’un d’eux une fille, son visage s’assombrit et une rage profonde [l’envahit]. Il se cache des gens à cause du malheur qu’on lui a annoncé. Doit-il la garder malgré la honte ou l’enfouira-t-il dans la terre? Combien est mauvais leur jugement ! } [16 : 58-59]

Le Très Haut  (Exalté) les a blâmé en disant :

{ et qu’on demandera à la fille enterrée vivante, pour quel péché elle a été tuée. } [81 : 8 - 9]

 

 

 
VOICI LE ADITH DU JOUR LISEZ LE ET APPLIQUEZ LE
Hadiths 33 Selon Ibn Abbâs (que Dieu soit satisfait de lui) le Prophète (sws) a dit: «Si l`on accordait aux plaideurs, l`objet de leurs demandes, certes, on en verrait qui réclameraient les richesses et le sang d`autres gens. Mais il appartient au demandeur de faire la preuve et le serment est déféré a celui qui nie». Hadiths 34 Aboû Saîd El Khodrî (que Dieu soit satisfait de lui), a dit qu`il a entendu l`Envoyé de Dieu (sws) dire: «Si l`un d`entre vous voit ce qui déplait à Dieu, qu`il le combatte de ses mains; si cela ne lui est pas possible, que ce soit par la langue, et si cela encore ne lui est pas possible, que ce soit avec son cœur, c`est là le minimum imposé par la foi». Hadiths 35 Selon Aboû Horëira (que Dieu soit satisfait de lui), l`Envoyé de Dieu (sws) a dit: «Ne vous jalousez pas, n`enchérissez pas les uns sur les autres, ne vous haïssez pas, et n`agissez pas avec perversité les uns à l`égard des autres, ne concluez pas d`achats au détriment les uns des autres. Soyez, ô serviteurs de Dieu, tous frères, le musulman est frère du musulman, il ne l`opprime pas, ni ne l`abandonne, et il ne lui ment pas, ni ne le méprise. La crainte de Dieu est ici», et il dit ceci en montrant trois fois son cœur, puis il ajouta: «Le pire de l`iniquité est de mépriser son frère musulman. Tout ce qui appartient au musulman est sacré pour le musulman: son sang, son bien, son honneur». Hadiths 36 D`après Aboû Horëira (que Dieu soit satisfait de lui), le Prophète (sws) a dit: «Quiconque, en ce bas monde, a allégé l`affliction d`un croyant, verra Dieu alléger son affliction au jour du Jugement Dernier. Quiconque secourt un homme dans la gêne, verra Dieu le secourir en ce bas monde et dans l`Autre. Quiconque couvrira les fautes d`un Musulman, verra Dieu les lui couvrir en ce bas monde et dans l`Autre. Dieu aide Son serviteur tant que ce dernier aide son frère. Celui qui parcourt le chemin de la Science (religieuse), Dieu lui aplanira le chemin du Paradis. Tant que les hommes s`assembleront en quelque demeure consacrée à Dieu pour réciter le Coran et pour l`étudier ensemble, la paix du cœur descendra sur eux, la miséricorde les couvrira, les anges les entoureront et Dieu les mentionnera comme étant des Siens. Quant à celui que ses œuvres ont mis en retard. il ne sera pas mis en avance par son lignage».
 
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